Renault poursuit sa logique financière malgré un prêt de 5 milliards d’euros garanti par l’État

L’État, qui dit vouloir sauver la filière automobile et ses emplois, garantit 5 milliards d’euros de prêts à Renault. Or, un plan d’économies y est sur les rails. La CGT redoute le scénario de 2009 qui avait vu le constructeur empocher des aides publiques et restructurer dans la foulée, au détriment de l’emploi.