Pour dénoncer les violences policières qu’elle couvrirait et les atteintes aux libertés qui sont légion dans ce texte de loi à l’arrière-goût de surveillance généralisée, de multiples organisations de la société civile ont appelé à manifester.
Aussi bien sociétés de rédacteurs de journaux et magazines, associations de défense des libertés, associations de défense des droits humains ont rejoint un concert de critiques formulées aussi par des organisations gouvernementales.
Le comité des droits de l’Homme de l’ONU, la Commission européenne, entre autres, ont fait part de leur condamnation, de leurs réprobations de cette loi et de son contenu.
La macronie continue sa dysphorie permanente : un discours orwellien, la main sur le cœur, pour se prétendre plus progressiste que tous, et des actions concrètes, des choix politiques qui font le lit de l’extrême droite, reprenant jusqu’à ses arguments, ses motivations et obtenant ses voix.