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JUSTICE

Accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : La CGT dénonce la théorie du lampiste

25 mai 2022 | Mise à jour le 25 mai 2022
Par | Photo(s) : DOMINIQUE FAGET et Frank PERRY / AFP
Accident ferroviaire de Brétigny-sur-Orge : La CGT dénonce la théorie du lampiste

Le 12 juillet 2013, le déraillement du train Intercités Paris Limoges en gare de Brétigny-sur_Orge faisait sept morts. Le procès de cette catastrophe ferroviaire est en cours.

Cela fait un mois que le procès de la catastrophe ferroviaire de Brétigny-sur-Orge a commencé. Avec pour toile de fond la responsabilité, ou non, de la SNCF en tant que personne morale. Ce que l'entreprise dénie.

Ce 12 juillet 2013 devait être un jour comme les autres à la gare de Brétigny-sur-Orge, « nœud » ferroviaire de la banlieue parisienne où se côtoient, se croisent, rames du RER, trains régionaux et grandes lignes, convois de fret. Un quotidien bien huilé brutalement confronté à un « accident majeur » lorsqu'un train Intercités reliant Paris à Limoges déraillait soudainement, faisant 7 morts et plus de 400 blessés.
Une catastrophe scrutée depuis le 25 avril dernier par le tribunal correctionnel d'Evry, dans l'Essonne, qui aura pendant huit semaines la lourde tâche de déterminer, outre les origines de cette catastrophe, les responsabilités de chacun et attendant d'éventuels dédommagements.

La CGT cheminots pointe les responsabilités

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