Le désormais candidat de la droite et du centre, n’a cessé de marteler son souhait de voir supprimer 500 000 postes de fonctionnaires dans toute la France, pour permettre au pays de retrouver un semblant de vigueur économique.
Dans la logique de la fable libérale qu’il prétend incarner, la suppression de postes est une incitation à embaucher, la baisse de moyens du service public est une opportunité pour tous les français et, évidemment, les postes supprimés dans la fonction publique seront im-mé-dia-te-ment remplis par des postes dans des structures privées, avec une offre, moins chère, de meilleure qualité et plus rapide.
Et sinon ? Quand est-ce qu’on parle sériseusement des services publics en France et en Europe ?