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SCOP

Les Scop-Ti ont besoin de vous !

10 août 2015 | Mise à jour le 6 mars 2017
Par | Photo(s) : Citizenside/Frédéric Seguran/AFP
Les Scop-Ti ont besoin de vous !

Dans les starting-blocks. Les ex-Fralib, qui démarrent la commercialisation de leurs thés et infusions courant septembre, lancent un appel à contribution via la plate-forme collaborative Ulule. À vos clics !

Il vous reste 16 jours pour soutenir les 60 salariés de la Scop-TI (Société coopérative ouvrière provençale de thés et infusions), via la plate-forme collaborative Internet Ulule. L'objectif  ? Accompagner le démarrage des deux marques de thés et infusions lancées par les anciens salariés de l'usine Fralib, de Gémenos (13), autrefois propriété du groupe Unilever.

SE LANCER VIA LE CROWDFUNDING

Depuis qu'ils se sont rassemblés en SCOP au terme de 1 336 jours de lutte, les salariés ne chôment pas. La commercialisation de leurs marques respectives, 1 336 (distribuée en grandes surfaces) et Scop-Ti (distribuée dans de petits réseaux de distribution alimentaire), doit en effet être effective courant septembre.
En vous rendant sur Ulule, vous pouvez les aider à peaufiner leur lancement :

– pour 10 euros de contribution, vous recevrez l'équivalent d'un mois de consommation de thés ou d’infusions ;

– pour 35 euros, une boite métallique collector de thé et d’infusions vous sera expédiée ;

– pour 50 euros, trois mois de consommation s'offrent à vous…

DES IDÉES POUR PÉRENNISER LE PROJET

Pour l'heure les « scop-tistes » ont réussi à atteindre, grâce à cette opération de crowdfunding, la bagatelle de 1 336 contributeurs en moins de 1336 heures. « Cela nous permet déjà de financer de nouveaux supports de communication et d'appuyer la vente de nos produits dans divers circuits de distribution », détaille Romain Gicquiaux, en charge du pôle marketing de la SCOP avec sa collègue Amandine Viornery.
Mais ce premier pas franchi, les salariés ambitionnent, grâce à de nouvelles contributions, de créer leur propre site de e-commerce, d'acheter un tea-truck ambulant pour sillonner les routes et faire déguster leurs produits estampillés bio et équitables et, pourquoi pas, de racheter un jour une partie de leur usine, jusqu'ici propriété de la communauté urbaine de Marseille.

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