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Philippe Martinez, en déplacement dans le Jura, devant le site de SKF à Périgny, mardi 22 septembre.
Philippe Martinez, en déplacement dans le Jura, devant le site de SKF à Périgny, mardi 22 septembre.
Le secrétaire général de la CGT, Philippe Martinez, était en déplacement le mardi 22 septembre dans le Jura, pour visiter deux sites menacés : SKF à Périgny et Jacob Delafon à Damparis.
Pour ces deux entreprises, les annonces de suppressions de postes ou la menace de fermeture du site sont la démonstration d'un manque de guidage de la politique industrielle du pays et du manque de volonté du gouvernement de flécher les aides.
SKF, sous-traitant d'un avionneur aux carnets de commande plein pour les 8 prochaines années, ou Jacob Delafon, site de production menacé par une délocalisation incohérente avec les déclarations sur l'écologie et le respect des normes sociales les plus basiques, les syndicats CGT des 2 entreprises sont mobilisés pour alerter sur leur situation et rendre visible les revendications de la CGT pour l'industrie française.
Des annonces d'entreprises « en difficulté » qui se succèdent dans le territoire
« La crise sociale liée à la crise sanitaire sert aussi d'excuses pour des plans de sauvegarde de l'emploi ou des restructurations qui profitent de la période » , selon le secrétaire général de l'union départementale CGT du Jura, Richard Dhivers.
SKF menace de supprimer 123 emplois, Jacob Delafon — appartenant au groupe Kohler — prévoit directement de fermer le site de Belvoye, avec une délocalisation de la production « à la clé ». Et d'autres entreprises du Jura, citées en partie par Richard Dhivers ont déjà supprimé des postes ou feront aussi les frais d'un contexte économique servant de toile de fond à une désindustrialisation toujours plus importante : Lamy, C & K, MBF, LMT Belin, Curtil, Diager Industrie.
À l'échelle du Jura, avec un chapelet de noms des villes concernées, Poligny, Saint-Claude, Morez, Dole… Ce sont près de 500 emplois déjà perdus ou bientôt disparus.
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