Toutes les inquiétudes de la CGT sont confirmées
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Le gouvernement n'en a pas fini avec la contestation sociale du projet de loi Travail. Car la mobilisation de ce 14 juin a été massive et a donné lieu à une manifestation géante à Paris. La CGT annonce 1,3 million de manifestants dans tout le pays. D'autres rendez-vous sont à venir…
La contestation sociale pour le retrait du projet de loi « travail » devrait connaître ce mardi 14 juin un nouveau souffle avec une journée de mobilisation, grève et manifestation nationale à Paris, préparée par une votation citoyenne dans tout le pays.
Ivry-sur-Seine a ouvert le bal, Saint-Ouen et Issy-les-Moulineaux ont suivi, le 2 juin. Les usines de traitement des déchets de Paris et la proche banlieue sont bloquées par un mouvement de grève contre la loi « travail » à l'appel de la CGT.
Comme on pouvait s'y attendre, les annonces de l'exécutif n'ont pas brisé l'élan de la mobilisation contre la réforme du Code du travail. Les réunions intersyndicales confirment l'exigence de retrait du texte pour ouvrir des négociations et préparent les mobilisations à venir les 24 puis 31 mars.
Lancé depuis quatre mois, le mouvement social contre la loi « travail » ne faiblit pas et se renouvelle avec succès, en dépit des tentatives pour le discréditer. Ce 14 juin, à l'appel de l'intersyndicale (CGT, FO, FSU, Solidaires, Unef, UNL et Fidl), les rangs de la manifestation parisienne s'annoncent fournis.
Loin de faiblir, la contestation contre le projet de loi se poursuit et s’amplifie. Reportage sur le vif lors de l’action du 7 juin à Roissy Charles-de-Gaulle, à l’initiative de l’union locale CGT.
Alors que la détermination des opposants au projet de loi « travail » se renforce, le gouvernement cherche à sortir de l'impasse où l'entraîne son entêtement, tout en maintenant l'article 2, celui qui inverse la hiérarchie des normes. Il tente de nouveau de délégitimer le mouvement social, s'en prenant particulièrement à la CGT. Mais de cafouillage en reprise en main, la validité de l'article 2 est mise en question jusqu'en son sein.
Face à un mouvement social qui se développe et se durcit, le gouvernement a choisi le bras-de-fer plutôt que le dialogue. Il veut faire passer coûte que coûte sa loi dite « travail », passant outre le refus des salariés, de la majorité de l'opinion comme du parlement.
Face à la fermeté de l’exécutif, les 7 syndicats de salariés, lycéens et étudiants opposés au projet de loi travail ont maintenu la pression ce jeudi avec de nouveaux blocages, manifestations et grèves dans les transports routier, ferroviaire et aérien.
Avec l'adoption aux forceps du projet de loi Travail s'est ouvert une nouvelle séquence du mouvement contre la réforme du Code du travail. Ce 17 mai puis jeudi 19, les sept organisations qui composent l'intersyndicale ont appelé à de nouvelles manifestations partout dans le pays tandis que des professions ou des grands secteurs durcissent le ton et les formes d'action sur des revendications particulières, mais aussi pour le retrait du texte.
Après le passage en force par le gouvernement à l'Assemblée nationale, et entre les navettes parlementaires, l'essentiel va dépendre du développement, de l'élargissement, et du durcissement du mouvement social. Car rien n'est joué.
Alors que le gouvernement a décidé d'un coup de force pour faire passer la loi dite « Travail », le mouvement syndical appelle à durcir et à amplifier le mouvement. Premier nouveau rendez-vous de mobilisation le 12 mai.
La mobilisation contre le projet de loi El Khomri se poursuit alors que les députés examinent le texte. A Paris, Les organisations syndicales de salarié(e)s, lycéen(ne)s et étudiant(e)s, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL FIDL, appelaient à un rassemblement mardi 3 mai alors que le débat sur le texte débutait au Parlement.
Le gouvernement n’en est pas quitte avec la contestation sociale contre la réforme du Code du travail. Des centaines de milliers de personnes ont manifesté un peu partout dans le pays au cours de cette journée du 28 avril. Prochains rendez-vous les 1er et 3 mai.
Ce jeudi 28 avril, les organisations syndicales de salariés, étudiants et lycéens mobilisées depuis des semaines contre la loi « travail » appellent à un nouveau temps fort pour obtenir le retrait du texte débattu à l'Assemblée dès le 3 mai.
Les organisations syndicales qui réclament le retrait de la réforme du Code du travail depuis le début mars ont réussi à faire mentir les oracles qui prédisent depuis des semaines l'essoufflement du mouvement social, alors même que les sondages d'opinion restent très nettement défavorables au gouvernement sur ce texte.
Syndicats de salariés, d’étudiants et de lycéens opposés à la réforme du Code du travail ont encore manifesté par milliers dans plusieurs grandes villes de France. Comme un tour de chauffe unitaire avant la grande journée de mobilisation pour le retrait de la loi Travail le 31 mars.
Le conseil des ministres examine ce matin l'avant projet de loi Travail dont la CGT, FO, la FSU et Solidaires demandent le retrait avec les syndicats d'étudiants et de lycéens Unef, UNL et Fidl. Ils appellent à manifester aujourd'hui.
Descendus dans la rue le 9 mars dernier où ils avaient été rejoints par les syndicats de salariés (CGT, FO, Solidaires, FSU) pour demander le retrait de la loi Travail, le syndicat d'étudiant Unef et les syndicats de lycéens Fidl et UNL seront à nouveau dans l'action les 17, 24 et 31 mars prochains.
Le premier ministre a reçu hier lundi 14 mars les organisations syndicales, afin de leur présenter les quelques modifications qu'il a décidé d'apporter au projet de loi restreignant le droit du travail. Face à ce toilettage de façade, la mobilisation se poursuit.
Près de 500 000 étudiants, lycéens et salariés ont défilé mercredi partout dans le pays. Ils étaient 100 000 à Paris, donnant ainsi corps à l'impressionnante mobilisation sur les réseaux sociaux pour réclamer le retrait du projet de réforme du Code du travail.
Respectivement trésorière nationale de l'Unef et coorganisateur du collectif Jeunes CGT de l'Isère, Marthe Corpet et Maxime Grand ont répondu aux questions de la NVO, en marge des Assises Jeunes CGT qui se sont tenues les 2 et 3 mars derniers, sur les questions qui ont largement dominé cet événement : les jeunes, la lutte contre la précarité et le projet de loi sur la réforme du Code du travail.
Rassemblés mercredi 2 et jeudi 3 mars à Bron, des représentants des unions locales de Rhône-Alpes ont affirmé leur volonté de voir la CGT s'inscrire pleinement dans les mobilisations du mois du mars. À commencer par celle du 9, pour exiger le retrait du projet de loi de réforme du Code du travail.
Les organisations syndicales de salariés, d'étudiants et de lycéens se sont retrouvées, jeudi 3 mars 2016, durant deux réunions successives, mais différentes en termes de contenu et d’organisations participantes et signataires des communiqués.
L'annonce du report de deux semaines de la présentation du projet de loi « El Khomri » en conseil des ministres est un premier et incontestable recul à mettre à l'actif de la mobilisation montante qui va s'exprimer dans les rues le 9 mars.
Après la publication du projet de loi dit « El Khomri », les organisations syndicales de salariés, d'étudiants et de lycéens se sont réunies le 23 février au siège de la CGT, à Montreuil. Neuf d'entre elles ont signé un communiqué commun contestant « un projet élaboré sans réelle concertation » qui ferait voler en éclats le Code du travail. Elles ont convenu de se retrouver le 3 mars prochain.
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Pour contourner le refus de la CGT (58,4 % aux élections) sur l’accord temps de travail, 4 200 électriciens de RTE ont été invités à un référendum façon loi El Khomri.... Lire la suite