Arkema : Le lock-out patronal, déjoué par la CGT
Contre la réforme des retraites et son passage aux forceps du 49.3, les salariés d’Arkema France ne baissent pas les bras. A l’occasion de la mobilisation nationale du 23... Lire la suite
Prenant aux mots Emmanuel Macron qui avait lancé à ses collaborateurs « il faut arrêter d'emmerder les retraités », plusieurs dizaines de milliers d'entre eux sont descendus dans les rues. Dans tous les cortèges en France et notamment entre Opéra et République à Paris, la revendication la plus entendue était sans conteste l'annulation de la hausse de la CSG, destinée à financer les baisses de cotisations pour les salariés. Et s'ils sont révoltés de la dégradation de leur niveau de vie, les retraités se sentent aussi inquiets de l'impact de la réforme à venir du système de retraite pour les actifs et la jeunesse d'aujourd'hui.
Cette mobilisation « n'est pas quelque chose de sporadique qui se terminera au soir du 18 octobre, c'est une vague de fond », affirme Olivier Jouchter, secrétaire général de l'union confédérale des retraités CGT. Une réunion est déjà prévue le 5 novembre pour discuter d'éventuels prolongements du mouvement, car les revendications portées par les neuf organisations n'ont pour l'heure reçu aucune réponse satisfaisante, notamment pour ce qui concerne la revalorisation des pensions.
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