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La lecture forme la jeunesse

23 avril 2016 | Mise à jour le 15 février 2017
Par | Photo(s) : DR
La lecture forme la jeunesse

Les vacances scolaires, c'est le temps de lire. Les éditions « Rue du Monde », toujours à l'écoute de ce qui nous entoure, présentent régulièrement de nouvelles parutions aux jeunes lecteurs. Petite sélection.

La collection « Au travail » propose, dès deux ans, d'aborder de manière ludique et colorée les univers – mystérieux pour les petits – où se rendent leurs parents chaque jour… lorsqu'ils ont la chance d'avoir un emploi. Les collages et papiers découpés inventifs de l'auteure et illustratrice Susan Stegall, créés à l'origine pour ses fils, abordent notamment les métiers utilisant des engins motorisés.

Tracteurs (« En suivant le tracteur ! »), engins de construction (« Une maison, quel chantier ! »), monde portuaire (« Au boulot, les bateaux ! ») et mécanique automobile (En voiture les enfants !) pour les quatre premiers volumes, qu'on espère suivis de métiers où les femmes sont plus présentes.

Chaque ouvrage 32 pages, 15 €.

 

C'est sous le signe du voyage que l'on découvre « Djô », le malin petit singe jaune qui voulait voler. Son amitié avec un aigle va exaucer son vœu et lui faire rencontrer le vieil éléphant Rabab qui, presque aveugle, voudrait rentrer mourir sur sa terre natale.

Le trio, né sous la plume de l'auteur illustrateur brésilien Gilles Eduar, ravira les petits à partir de 4 ans, l'âge des copains, mais aussi des interrogations sur ce qu'est vivre et disparaître.

Djô, 40 pages, 16 €.

 

On peut aussi voyager sans sortir de chez soi, comme le fait ce petit garçon qui demande à son père de lui raconter ses tatouages. Façon ludique et intime pour l'enfant de parcourir l'histoire paternelle et de se situer dans la famille.

Une jolie idée du duo américain formé par Alison McGhee signant le récit et Eliza Wheeler les tendres images.

« Tu me racontes tes tatouages ? », 32 p., 16 €.

Mais le meilleur du voyage se déroule dans la tête, surtout lorsque l'imagination poétique est au pouvoir. Le printemps des poètes est l'occasion d'entrer « Sous le chapiteau des mots » (64 pages, 18 €) avec cette anthologie de poèmes autour du monde circassien, illustrés par les techniques d'illustration diverses et oniriques de Vanessa Hié.

 

À partir de 8 ans, à compléter, pour les bébés dès 18 mois par « Les haïkus des tout-petits » (70 pages, 16 €), mini-histoires pour poètes en herbe.