Casse de l’emploi : une situation alarmante
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Que toute la lumière soit faite sur la « grande évasion » de l’ex-PDG de Renault-Nissan et sur les complicités qui l'ont rendue possible. C'est ce que la CGT Renault-Nissan a dit espérer, dès la découverte, le 31 décembre, de la fuite au Liban de Carlos Ghosn, jusque-là en résidence surveillée au Japon.
« Nous espérons que toute la lumière sera faite sur cette affaire et notamment sur les complicités dont a bénéficié Carlos Ghosn », a déclaré Fabien Gâche, délégué CGT du constructeur automobile. Car passée une première sidération, plusieurs questions se posent.
« Comment a-t-il pu quitter le Japon sachant qu’il était, selon ses avocats, assujetti à résidence et à des contrôles stricts tant dans ses déplacements que dans ses échanges avec autrui ? Comment a-t-il pu passer le contrôle des aéroports (Japon, Turquie…) sans passeport, puisque ses avocats affirment détenir ses passeports français, libanais et brésilien ? », a interrogé le syndicat. Alors que l'ex-grand patron s'est réjoui de s'être « libéré de l’injustice et de la persécution politique», la CGT, elle, a regretté qu' « une nouvelle fois, Carlos Ghosn s’autorise à décider de ce qui relève de la justice ou non, tout comme il s’est autorisé à licencier des centaines de milliers de salariés sans autre forme de procès ».
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