Féminicides : « On ne peut plus se payer de mots, il faut des actes et des moyens »
Le gouvernement convoque à partir de ce 3 septembre, et pour trois mois, un "Grenelle des violences conjugales". Et, pour "bien faire", il n'y invite pas les syndicats. Comme si le travail n'était pas, justement, une des planches de salut pour les femmes victimes. Lire la suite