Lillian, militant de la CGT, tué par un chauffard.
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Les cours sont certes terminés pour l'année, mais les couloirs du lycée Voltaire, dans le XIe arrondissement de Paris, ont vu défiler jeudi 6 juillet des syndicalistes, d'anciens résistants et déportés et des militants communistes, pour inaugurer la plaque à la mémoire d'Henri Krasucki.
Arrivé de Pologne à Paris à 4 ans, Henri Krasucki avait suivi une partie de ses études dans ce lycée situé près des quartiers populaires de Belleville et Ménilmontant, avant de travailler chez Renault et à Levallois puis de rejoindre la section juive de la FTP-MOI (main d'œuvre immigrée) dans la Résistance. Et d'être arrêté en mars 1943, torturé, et déporté à Auschwitz.
De retour des camps, ce « juif, polonais, ouvrier, résistant, déporté, syndicaliste et communiste » a milité à la CGT où il exerce d'importantes responsabilités, devient directeur de la Vie ouvrière puis, succédant à Georges Séguy, prend la tête de la confédération de 1982 à 1992, année où il passe la main à Louis Viannet. Deux ans après sa mort en 2003, il avait déjà donné, en 2005, son nom à la place Henri Krasucki dans le XXe arrondissement de Paris.
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