Au musée d'histoire vivante de Montreuil, la mémoire ouvrière à l’honneur
Au musée de l’Histoire vivante de Montreuil, la rétrospective « #Ouvrier·e·s au musée » tente une plongée dans l’histoire des travailleurs, d’hier à... Lire la suite
Réaliste et mystique, travailleur acharné expérimentant sans relâche, maître du clair-obscur et portraitiste à l'acuité sans concession, Rembrandt, bien que dépendant pour vivre des commandes de riches clients, ne cherchait pas à plaire. Cette exposition montre comment, se dégageant des critères de mode de son époque, il va peu à peu affiner son style. Lorsqu'il brosse des portraits de commande, mais plus encore dans les représentations de ses proches ou ses autoportraits, c'est bien la personnalité du sujet qu'il entend montrer.
On le constate aussi lorsque les toiles se doublent de gravures qui sont parfois comme de saisissants instantanés. Dessins à la plume d'une extrême délicatesse, utilisation de sanguine, de pierre noire, d'encre grise ou brune et même de gouache blanche ainsi que de fines hachures lui permettent de réaliser des effets d'ombre et de lumière étonnants.
La vingtaine de tableaux présentée rappelle combien variée était l'inspiration du maître de Leyde qui faisait endosser à ses modèles – dont sa femme Saskia puis sa compagne Hendrickje – étoffes et bijoux et utilisait des jeux de lumière lui permettant d'explorer toutes les difficultés techniques.
Jusqu'au 23 janvier 2017 au Musée Jacquemart André.
158 boulevard Haussmann – Paris 8e.
Extrait du film de Jos Stelling : Rembrandt fecit 1669
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