Une centaine de films – dont la moitié en compétition, notamment dans la section « Un juste regard social » – sont programmés autour de deux thèmes : amours, d’une part, liberté d'expression et obscurantisme, d’autre part. Ce dernier thème faisant écho à une année 2015 particulièrement dramatique dans le monde.
À noter la projection de Eau argentée, film-essai réalisé à quatre mains par Oussama Mohamad, réalisateur syrien exilé en France, et Wiam Simav Bedirxan, jeune cinéaste kurde ; et du film franco-palestinien Cinq caméras brisées, de Emad Burnat et Guy Davidi.
Le documentariste franco-iranien Mehran Tamadon donnera une leçon de cinéma (le 26/11) autour de la recherche de ce que les humains ont de commun par-delà leurs différences.
Le festival rendra hommage à l'association Documentaire sur grand écran.
Un programme jeune public et des séances scolaires, une rencontre professionnelle sur la recherche « de nouveaux canaux de diffusion pour le documentaire » complètent cette riche vingt-cinquième édition.
Festival Traces de vie, du 23 au 29 novembre.
Dans L’Effet Bahamas, la documentariste Hélène Crouzillat, cherche à comprendre le fonctionnement de l’Assurance chômage. Différents témoignages et une mise en scène... Lire la suite
Après Party Girl, Caméra d’Or en 2014, et C’est ça l’amour, en 2018, Langue Étrangère, le troisième long-métrage de Claire Burger, sonde les aspirations amoureuses et... Lire la suite
