
Quel avenir pour l'usine Stellantis à Poissy ?
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Nettoyage des poches d'aciers dans l'aciérie Ascoval de Saint-Saulve.
Altifort était le seul candidat à la reprise de l’aciérie, en redressement judiciaire depuis janvier, avec 281 emplois à la clef. Le jugement et ses attendus n’étaient pas encore disponibles en début d’après-midi. Ni la direction, ni les représentants des salariés n’ont souhaité réagir immédiatement, attendant d’être officiellement informés, selon un journaliste de l’AFP présent dans l’usine.
La reprise d’Ascoval, d’un montant de 152 millions d’euros, se décompose en 47 millions d’euros de fonds publics « sous forme de prêt » (25 millions de l’Etat, 12 de la région Hauts-de-France et 10 de Valenciennes-Métropole), 35 millions d’apport d’Altifort, 40 millions de crédit-bail pour le financement d’un futur train à fil et 30 millions d’affacturage.
L’offre de départ d’Altifort impliquait que Vallourec maintienne pendant un an et demi son niveau actuel de commandes, mais le sidérurgiste a refusé, obligeant le gouvernement et le groupe franco-belge à travailler sur une proposition alternative avec des sources de financement et des clients supplémentaires.

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