En 2015, Emmanuel Macron, ministre de l'Économie, autorisait la vente de la branche énergie d'Alstom, un des fleurons industriels français, à l'américain GE.
L'opération a lieu dans le contexte de poursuites pour corruption engagées par la justice états-unienne contre des dirigeants d'Alstom. Au-delà du pillage technologique pour le pays, les 1000 emplois promis à la France n'ont pas vu le jour. GE annonce qu'il payera la pénalité de 50 millions due à l'État français pour non-respect de ses engagements. Une goutte d'eau pour cette multinationale.
Mobilisation contre un plan social incompréhensible à GE Hydro Grenoble
Les engagements qui ont été pris devant l'État, c'est impensable qu'ils ne soient pas respectés