Toutes les inquiétudes de la CGT sont confirmées
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Les premières reculades du gouvernement n'ont pas entamé la combattivité. Plus de lycées mobilisés et bloqués, plus d'étudiants dans les assemblées générales de ces deux derniers jours pour préparer cette journée, ce sont là des indicateurs d'un élargissement de la mobilisation pour le président de l'Unef, William Martinet, tout comme pour les représentantes de l'UNL ou de la FIDL.
« La mobilisation a pris de l'ampleur par rapport au 9 mars », a indiqué l'Unef dans un communiqué, évoquant 12 000 manifestants à Rennes, 10 000 à Lyon ou 6 000 à Toulouse. Dans les cortèges se sont de nouveau mêlés jeunes et salariés toujours bien décidés à exiger le retrait du projet de réforme du Code du travail.
À Paris, le cortège a, par exemple, rassemblé des salariés des collectivités locales, des finances publiques, de la Poste, du commerce, de l'automobile, de la chimie. Une participation des salariés dont se félicite Pascal Joly, dirigeant confédéral et secrétaire général de la région CGT Île-de-France : « c'est un des indicateurs qui nous font espérer une très forte mobilisation le 31 mars. D'ores et déjà, les distributions de tracts, les débats avec les salariés dans les entreprises montrent une forte disponibilité pour agir pour le retrait de ce texte et pour une autre réforme. »
Les organisations syndicales de salariés, d'étudiants et de lycéens préparent une nouvelle étape de mobilisation le 24 mars avant celle du 31.
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