
A Rennes, un nouvel espoir fait défiler
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Manifestation contre l’utilisation de l'article 49-3 de la Constitution sur le projet de réforme des retraites. Paris, le 3 mars 2020.
« Les gens ont été pris de court, comme le gouvernement a cherché à prendre de court l'ensemble des Français en fin d'après-midi un samedi [en annonçant le recours au 49-3], alors que la France est polarisée sur le coronavirus. Ça nous a obligés à réagir vite, évidemment ça ne laisse pas beaucoup de temps pour se mettre en grève », a commenté Catherine Perret (CGT).
L'intersyndicale avait programmé une journée d'action le 31 mars, mais a décidé en urgence d'une autre manifestation ce mardi pour réagir à l'utilisation de l'article 49-3 de la Constitution qui permet au gouvernement de faire adopter le texte sans vote, sauf s'il est renversé par une motion de censure. Notre reportage à Paris.
« L'appel au 31 mars demeure, mais on n'aurait pas pu rester l'arme au pied dans ce contexte », a commenté Yves Veyrier (FO).
« Avant le 31 mars, il va falloir continuer à faire des actions (…). Il y a une colère très grande et un sentiment d'impuissance chez les salariés, un sentiment de mépris très grand, de déni de démocratie », a jugé Benoît Teste (FSU).
D'autres villes de France ont également connu des défilés syndicaux.

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