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Transport

Une « fashion week » pour dénoncer les « cheap-victimes » de H&M

19 octobre 2021 | Mise à jour le 19 octobre 2021
Par | Photo(s) : Clément Martin
Une « fashion week » pour dénoncer les « cheap-victimes » de H&M

La grève des H&M contre la fermeture et la délocalisation de l'entrepôt logistique du Bourget s'intensifie. Une mobilisation d'ampleur qui a permis d'obtenir qu'une discussion s'engage entre H&M France et divers élus de la République soucieux du devenir du site industriel et des emplois. Exclus de cette réunion par H&M, les grévistes ont joué la carte des « fashion victimes » du géant de la mode. Avec un zeste d'humour, et beaucoup de détermination.

En grève depuis le 7 octobre contre la fermeture brutale du site qui les emploie depuis plus de 20 ans et que la direction compte délocaliser à l'étranger après s'être gavée d'aides publiques liées à la crise sanitaire, les salariés ont décidé de hausser le ton. Et d'organiser, vendredi 15 octobre, leur propre « fashion week » revendicative. Avec pour objectif de mettre sous le feu des projecteurs l'injustice et le cynisme de la firme suédoise dans le traitement de ce conflit social

Cheap-victimes du groupe de « fast-fashion » H&M, les salariés ont décidé de glamouriser leur lutte en la saupoudrant d'une « french touch » bien protestataire : « H&M, menteur », « H&M déloyal », « H&M malhonnête »,

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