Toutes les inquiétudes de la CGT sont confirmées
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Pour Thierry Dumez, il n'est pas question de laisser la loi s'imposer dans les entreprises, « parce qu'elle est nocive, elle doit être combattue dans l'entreprise et il faut agir pour obtenir son abrogation » !
Le secrétaire de l'union régionale CGT d'Île-de-France a souligné que cette loi pour laquelle le premier ministre Manuel Valls a utilisé par trois fois, le 49-3 reste « minoritaire » et aujourd'hui « toujours contestée, car elle engendre précarité, facilite les licenciements, affaiblit le Code du travail… à l'expérience des premiers effets qui se font déjà ressentir dans les entreprises. Ainsi, l'accord d'entreprise pourrait devenir la règle et conduirait à des remises en causes majeures : majoration de 10 % des heures supplémentaires (36es heures) au lieu de 25 %, allongement du temps de travail, remise en cause des 35 heures, baisses des salaires. Sous prétexte de préserver ou développer l'emploi, un accord d'entreprise peut s'imposer au contrat de travail y compris en matière de rémunération et durée de travail ! »
La CGT Île-de-France a annoncé à l'occasion de ce rassemblement la tenue d'un meeting unitaire le lundi 30 janvier à 18 h au gymnase Japy (2 rue Japy, Paris 11e , métros Voltaire ou Charonne).
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Pour contourner le refus de la CGT (58,4 % aux élections) sur l’accord temps de travail, 4 200 électriciens de RTE ont été invités à un référendum façon loi El Khomri.... Lire la suite