Cette augmentation est de :
- 1,4 % sur un mois,
- 3,4 % sur trois mois,
- 7,5 % sur un an.
Chez les moins de 25 ans, la baisse se confirme pour les catégories A, B, C et s'établit aujourd'hui à 705 700 jeunes au chômage dont 350 400 femmes. Mais c'est surtout parce cette partie de la population est la première concernée par la précarité, les stages à répétition, les CDD, etc. De plus, le nombre de seniors au chômage en baisse légère de 0,5 % sur un mois pour les catégories A, B, C reste à un niveau très élevé de 1 409 700 personnes sans emploi, dont 739 900 femmes.
La CGT dénonce des politiques qui se fondent sur la précarité (plus aisément appelée « flexibilité » ou « agilité » et portée aux nues comme solution globale à presque tout) et un taux de chômage élevé qui compte ce mois-ci 6 216 500 demandeurs d'emploi inscrits sur les listes de Pôle Emploi. D'autres études rappellent par ailleurs que 16 % des personnes sans emploi ne sont pas inscrites sur les listes de Pôle Emploi.