La RATP annonce qu'elle supprimera 1000 postes d'ici 2024 dans la perspective de l'ouverture à la concurrence du marché des bus franciliens.
Selon la direction, il n'y aurait pas de licenciements, mais un « ajustement » des effectifs qui se fera essentiellement par le non – remplacement des départs en retraite.
Dans cette période, les absences d'embauches et les ruptures conventionnelles vont s'échelonner pour atteindre la suppression de 100 à 150 postes par an. Les syndicats CGT et SUD dénoncent une « déshumanisation » des gares et stations avec des réductions d'effectifs qui affecteront notamment les guichetiers.