Toutes les inquiétudes de la CGT sont confirmées
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Ambiance festive, fraternelle et combattive lors du meeting régional unitaire (CGT-FO-FSU-Unef-FIDL-UNL) qui se tenait hier, 30 janvier, au gymnase Japy à Paris.
Toujours vent debout contre la loi Travail, déterminée à en obtenir l’abrogation, l’intersyndicale invitait salariés et militants à reprendre la parole, et le combat, contre cette « loi scélérate » au moment où, « dans les entreprises, beaucoup de salariés font déjà l’amère expérience de ses conséquences », a souligné le secrétaire général de l’URIF-CGT, Pascal Joly.
Sous les tonnerres d’applaudissements des quelque 400 militants présents à cette première mobilisation unitaire de l’année dans la région Île-de-France, les prises de paroles se sont enchainées deux heures durant. Et d’abord, pour rappeler le sens et le succès des mobilisations de 2016. Si intense, cette vague de manifestations printanières, si légitimes, les revendications portées par des millions de salariés plusieurs mois durant qu’elles sont toujours soutenues par 70 % de l’opinion publique en janvier 2017. En dépit de quoi, la loi a été adoptée. Mais aux forceps de trois recours successifs au 49.3 qui auront achevé de révéler l’ampleur de la dérive autoritaire du gouvernement Valls.
De cette dérive autoritaire, de nombreux manifestants anti-loi Travail ont expérimenté la violence policière et judiciaire. C’est en lançant un appel à soutenir tous ces militants criminalisés « pour l’exemple », pour dissuader, pour pousser au renoncement que l’intersyndicale a exhorté l’assemblée à reprendre le flambeau de la mobilisation pour arracher l’abrogation de la loi Travail. Et dès à présent, à la combattre par tous les moyens, partout où elle tente de s’imposer, à commencer par les entreprises.
Fabrice Angéi et Catherine Perret, représentants de la CGT répondent aux questions de la NVO après la dernière séance de prétendue consultation sur les ordonnances au... Lire la suite
Pour contourner le refus de la CGT (58,4 % aux élections) sur l’accord temps de travail, 4 200 électriciens de RTE ont été invités à un référendum façon loi El Khomri.... Lire la suite