A la PJJ, la colère continue de répondre au mépris
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Les candidats à la reprise de l'entreprise de 350 salariés, jusqu'ici en redressement judiciaire, « n'ont pu présenter des offres de reprise finalisées, l'État et le groupe Renault ne souhaitant pas participer à leur financement », précise le tribunal.
Renault, principal donneur d'ordres de la SAM, s'est cependant engagé à continuer à financer l'exploitation et les investissements nécessaires à la poursuite de l'activité, note encore le tribunal.
Ghislaine Gistau, représentant CGT du personnel, « espère qu'une offre de reprise sera déposée d'ici le 30 septembre ».
Fin juillet, le tribunal de commerce avait rejeté deux offres de reprise de sociétés françaises : le groupe Alty, propriétaire de la fonderie Sifa Technologies à Orléans, et la Fonderie Trinquet, dont le siège est dans le Rhône. Le groupe espagnol CIE Automotive avait retiré la sienne le 18 juin.
Reprise en 2017 par le groupe chinois Jinjiang, la Société aveyronnaise de métallurgie (SAM) avait été placée en redressement judiciaire le 10 décembre 2019.
Les 350 salariés de SAM produisent notamment des carters dans l'usine de Viviez, dans l'ancien bassin minier de Decazeville, où l'emploi est rare.
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