Arkema : Le lock-out patronal, déjoué par la CGT
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« Nous ne voulons pas d'un système par répartition à cotisations définies (dit système à point) », écrivent les neufs organisations signataires qui réaffirment leur attachement « à la retraite par répartition à prestation définie et à la solidarité intergénérationnelle ». Déjà vent-debout depuis des années contre la baisse du pouvoir d'achat des pensions, ces organisations syndicales et associations estiment que ces « propositions entraîneraient une baisse des pensions » contrairement à ce que leur a affirmé le candidat Macron pendant la campagne présidentielle le 18 avril. Les organisations de retraités sont en désaccord sur la hausse de 1,7 point du taux normal de la CSG utilisée pour financer la protection sociale (sécurité sociale, prestations familiales…), prévue au 1er janvier 2018 afin de compenser la baisse des cotisations salariales, qui toucherait « 60 % des retraités ».
« C'est, si l'on comprend bien, en prenant dans la poche des retraités que l'on pourrait redonner du pouvoir d'achat aux actifs. C'est oublier que les personnes en retraite depuis plusieurs années ont subi une baisse des revenus, sous le double effet du gel des pensions et de l'augmentation de leur fiscalité spécifique », déplorent-ils.
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